Revue de presse

Vous trouverez ici des articles provenant de sites internet ou de journaux/magazines.
Bonne lecture!!

Victoire de William sur la 2* etape de Paris Nice 2010


Cyclisme - Paris-Nice
09/03/2010 - 13:25
Tout bon pour Bonnet

AFP
Infos liées :
Le film de la 2e étape
Etape 1: Résumé
Contador, sale journée
Ça commence fort !
Le Français William Bonnet a remporté au sprint la 2e étape de Paris-Nice mardi à Limoges, offrant une belle victoire à l'équipe Bbox Bouygues Télécom. Il a devancé in extremis le jeune Slovaque Peter Sagan (Liquigas), grande révélation de la semaine. Lars Boom (Rabobank) reste en jaune.

William Bonnet, en force, a signé la première victoire française dans cette édition 2010 de Paris-Nice, mardi à Limoges, où il s'est imposé devant le benjamin du peloton, le Slovaque Peter Sagan. "C'est ma première grande victoire, ça faisait longtemps que je l'attendais !", s'est exclamé le solide Picard (1,85 m, 78 kg), longtemps dévoué à la cause du Norvégien Thor Hushovd dans l'équipe Crédit Agricole avant de rejoindre la formation Bbox.

Dans le sprint vent de face jugé en faux-plat montant, l'Espagnol Luis Leon Sanchez a pris la troisième place. Par le jeu des bonifications, le vainqueur sortant de Paris-Nice s'est rapproché à 10 secondes du Néerlandais Lars Boom, toujours porteur du maillot jaune. Boom a été retardé par une chute qui a impliqué plusieurs coureurs, notamment le Français Jimmy Casper, l'Allemand Tony Martin et le Slovène Grega Bole, le plus sévèrement touché. Mais l'incident s'étant produit à 400 mètres de la ligne, les coureurs retardés ont été classés dans le même temps que l'avant-garde du peloton.

Sanchez prend quatre secondes

Au lendemain du coup de force de son équipe Caisse d'Epargne dans l'étape de Contres, Sanchez a grappillé de nouveau une poignée de secondes (quatre, soit la bonification allouée au troisième). Preuve de sa détermination à gagner une nouvelle fois Paris-Nice mais aussi de la hiérarchie à peine cachée au sein de sa formation puisque Valverde, très à l'aise habituellement dans une arrivée de ce type, s'est effacé à son profit. Mais attention tout de même à Valverde, qui est apparu encore très facile mardi dans la dernière bosse.

Leader de son équipe, Luis Leon Sanchez s'impose comme le principal rival de son compatriote Alberto Contador, lequel a effectué les 201 kilomètres à l'abri du peloton. S'il se ressent de l'hématome provoqué par sa chute de lundi, le double vainqueur du Tour de France espère surtout être tout à fait prêt pour l'arrivée à Mende jeudi. Dans cette étape poussée par un vent glacial, l'échappée du jour (Mangel, De Kort, Mouris, Finetto) a permis au seul Français du quatuor, Laurent Mangel, de revêtir le maillot à pois de meilleur grimpeur. Partis à l'avant dès le début de l'étape, les quatre hommes ont fini par être rejoints à une vingtaine de kilomètres de Limoges, avant une sortie du jeune espoir breton Cyril Gautier jusqu'aux 4 kilomètres.

Au sprint, Sagan est passé près d'écrire une belle histoire pour un coureur à peine âgé de 20 ans. Le jeune Slovaque, déjà remarqué dimanche dans le prologue de Montfort-l'Amaury (5e), n'a été dépassé que dans les vingt derniers mètres par Bonnet. A 27 ans, le vainqueur du jour ne se définit "pas comme un pur sprinteur" même s'il s'est classé deux fois deuxième d'étape dans la dernière Vuelta. Longtemps contrarié par un problème de genou, le Français songe aussi aux classiques, en particulier à Paris-Roubaix qu'il n'a couru qu'à deux reprises jusqu'à présent.



Eurosport - -







Le 09/03/2010 à 16:21 | Mis à jour le 09/03/2010 à 18:55 8 COMMENTAIRESCyclisme - Paris-Nice
La 2e étape pour Bonnet
William Bonnet (Bbox Bouygues Telecom) a remporté au sprint la 2e étape de Paris-Nice entre Contres et Limoges Le Néerlandais Lars Boom (Rabobank) est toujours leader. Une chute collective s'est produite lors du dernier kilomètre.

William Bonnet enlève au sprint la 2e étape.(EQ)
En franchissant en tête la ligne d'arrivée, William Bonnet a remporté sa première victoire depuis le Grand Prix d'Isbergues en 2008. Mardi après-midi dans les rues de Limoges, il a fait la différence dans les derniers coups de pédale. Le Slovaque Peter Sagan (Liquigas), finalement deuxième, a longtemps été le mieux placé dans ce sprint avant d'être coiffé. L'Espagnol Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne), vainqueur de Paris-Nice l'an dernier, a fini troisième. «C'est ma première grande victoire, ça faisait longtemps que je l'attendais, a déclaré William Bonnet. J'ai réussi à éviter la chute du dernier kilomètre et à prendre la roue de Sanchez qui a lancé le sprint aux 400 mètres.» Jimmy Casper et le Slovéne Grega Bole, deuxième la veille à Contres, ont eu moins de chance. Le Français souffre d'un hématome au coup de pied droit et de contusions au genou et à l'épaule droite.


Voigt à cinq secondes de Boom
Au cours des 203 km de l'étape du jour, quatre coureurs - Koen De Kort (Skil), Laurent Mangel (Saur-Sojasun), Jens Mouris (Vacansoleil), Mauro Finetto (Liquigas) - ont mené la principale échappée, portés par un vent favorable. Le peloton les a finalement repris à près de vingt kilomètres de l'arrivée. Le Français Cyril Gautier a ensuite tenté sa chance mais a été repris à 4 km du terme de la course. Alberto Contador, victime d'une chute lundi, est resté au sein du peloton. Au classement général, il est 9e à 25 secondes de Lars Boom, le vainqueur du prologue. Jens Voigt (Saxo Bank) pointe, lui, en deuxième position au général à cinq secondes. Luis Leon Sanchez a profité de sa bonne course mardi pour remonter à la troisième place. Mercredi, la troisième étape se disputera sur 208 kilomètres de Saint-Junien à Aurillac. (Avec AFP)

lequipe.fr

Article Courrier Picard du 3 juillet 2009

Source courrier picard
Cliquez pour agrandir l'image

Article Oise Hebdo du 1 juillet 2009

Interview Au-veloclubdeparis.fr

William Bonnet a hâte de rouler sur les Champs-Elysées

« Content de prendre le départ et d'en finir »

de notre reporter David CHOPIN

Son sourire, lors de la présentation des équipes, en disait long sur son plaisir de disputer sa deuxième Grande Boucle. Mais voilà, quelques jours plus tard, dans les rues de Saint-Brieuc, malgré la victoire de Thor Hushovd, William Bonnet grimace, la faute à une lourde chute dans les ultimes kilomètres. Bilan : entorse de la main. Du genre dur au mal, le Picard se remet en selle en attendant des jours meilleurs. Et cette journée est arrivée, sur la route de Digne-les-Bains, où le lanceur du Norvégien passe la journée à l'avant. Il retrouve alors le sourire. Le régional de l'étape (il réside Chantilly) l'aura t-il encore sur les Champs-Elysées ? « Oui, si Thor gagne, je serai le plus heureux. » Réponse dimanche.

William, la quatorzième étape est, pour l'instant, votre plus beau souvenir de ce Tour…

Oui, et ce jour-là, l'échappée aurait pu aller au bout. Mais c'est le peloton qui décide. En tout cas, même si je n'ai pas pu disputer la victoire, c'était déjà agréable de se retrouver devant. J'avais dit à Serge Beucherie que je voulais être devant. J'avais coché cette étape. Il y a des jours comme ceux-là que l'on sent plus que d'autres. Mais je ne peux pas me permettre de griller des cartouches tout le temps, je dois cibler afin de me réserver pour emmener Thor.

« Je veux tellement voir les Champs-Elysées »

Justement, comment se passe votre coopération ?

Pour l'instant, je pense avoir fait un bon travail pour Thor. Il manque juste un petit quelque chose, le maillot vert, qui est désormais grandement compromis. On s'est bien trouvé dans les sprints, il a l'air d'être satisfait. Maintenant, on pense aux Champs-Elysées, c'est une étape qui lui réussit habituellement. Je ne serai pas loin de chez moi, j'aurai des supporters sur le bord de la route.

Sentez-vous avoir progressé par rapport à l'an dernier sur le Tour ?

C'est difficile de comparer. Cette année, je trouve le parcours plus dur, notamment à cause des étapes dans le Puy de Dôme. Ma chute à Saint-Brieuc m'a un peu handicapé car j'avais une entorse à la main. Les jours suivants, je ressentais la douleur avec les vibrations de la route. A la sortie des Alpes, je commence à être un peu fatigué, mais je veux tellement voir les Champs-Elysées.

« La pression jusqu'au dernier kilomètre »

Comment sont les sensations à quelques jours de l'arrivée ?

J'étais content de prendre le départ mais aussi d'en finir. Mais je vais avoir la pression jusqu'au dernier kilomètre pour emmener Thor. Il faut faire son travail jusqu'au bout, on n'a pas le droit à un dernier tour tranquille (rires). C'est dommage que Mark (Renshaw) ne soit plus là, mais Jimmy (Engoulvent) fait du bon boulot. L'essentiel est que, pour toute l'équipe, le contrat est rempli.

Interview de William à l'arrivée de Nimes-Dignes les Bains ( velo-club.net)

Interview exclusive de William Bonnet
Posté le Samedi 19 juillet 2008 @ 21:02:55 par netcoach Contribution de : netcoach


 
Interview de William BONNET (Crédit Agricole)

Coureur indispensable à la préparation du sprint de Thor Hushvod (Crédit Agricole), Wiliam Bonnet, lors de cette 14ème étape entre Nîmes et Dignes les bains, s'est retrouvé projeté à l'avant de la course. Avec 20 autres coureurs dans un premier temps et avec Sandy Casar (Française des Jeux), José Yvan Guttiérez (Caisse d'Epargne) et Bram Tankink (Rabobank) ensuite. Mais avec 6'50'' d'avance maximale, il leur était difficile d'aller au bout. Repris au pied de la dernière bosse, le col de l'Orme, William n'a pu franchir le sommet avec les meilleurs et de fait n'a pu aider son leader Hushvod.

Récit d'une journée ensoleillée mais qui a marqué ce coureur de l'ombre.

« J'ai confiance en Thor Hushvod. Il sera là pour la fin de tour. »

Vélo-Club.Net : William, comment s'est passé cette journée ?
William Bonnet : « Le début d'étape a été très rapide (52 km/h de moyenne lors de la 1ère heure de course). J'ai pris l'échappée matinale qui était composée de 20 autres coureurs. Nous étions trop nombreux et des équipes piégées ont roulé derrière nous. Notre écart n'a jamais été supérieur à plus d'une minute. Le peloton s'est ensuite rapproché et à quatre, nous en avons profité pour repartir »

VCN : Comment avez-vous pu repartir ?
W.B : « A l'entrée d'un rond-point, le peloton s'est rapproché et il y a eu une cassure dans le groupe de tête. Nous avons relancé l'allure et cela a suffi. »

VCN : Avez-vous cru pouvoir aller au bout ?
W.B : « Notre avance a longtemps plafonné à trois minutes puis elle est montée à prés de 7' (6'50'' exactement, écart maximal). Forcément, à ce moment là, nous y avons cru un peu mais les Liquigas et les Bouygues Télecom ont embrayé. Dés lors, nous n'avons plus eu d'illusion. Maintenant, cela fait plaisir tout de même de rouler devant. »

VCN : Comment avez-vous été décroché de l'échappée en fin d'étape ?
W.B : « J'ai été surpris de l'attaque de Guttiérez. Je ne pensais pas qu'il attaquerait si loin de l'arrivée. Je suis resté figé. J'ai essayé ensuite de revenir mais sans succès. Je me suis ensuite relevé. Le peloton m'a repris très vite. »

VCN : Comment se déroule la fin de l'étape ?
W.B : « J'ai espéré passer la dernière difficulté avec les meilleurs pour aider Thor pour le sprint. Mais je n'ai pas pu. Je me suis fait lâché à un kilomètre du sommet. »

VCN : Quel bilan faîtes-vous de ces deux premières semaines de course ?
W.B : « Je récupère pas trop mal et tout se passe bien pour l'équipe. Thor a remporté la seconde étape. Par contre, la chasse au maillot semble compliquée. D'autant plus que Freire (Rabobank) a gagné aujourd'hui. Néanmoins, à partir de demain, no grimpeurs vont pouvoir s'exprimer. »

VCN : Confirmez –vous que Hushvod n'est pas au mieux en ce moment ?
W.B : «  En effet, Thor souffre de difficultés respiratoires. Des allergies certainement. Mais, nous avons confiance en Thor. C'est un grand champion et nous lui faisons confiance pour passer les Alpes. Il sera là pour la fin du tour. »

VCN : Justement, comment allez-vous géré l'étape de demain, la première dans les Alpes ?
W.B : « L'étape d'aujourd'hui va, c'est sûr, laisser des traces. Mais je ne m'inquiète pas. Au vue de ma condition, je pourrai accrocher le gruppetto et terminer dans les délais. »

VCN : Connaissez-vous le col d'Agnel (2770 mètres) qui vous escaladerez trés tôt en début d'étape ?
W.B : « Non ,je ne le connais pas du tout. Mais certains coureurs d l'équipe sont allés le reconnaître. Nous en parlerons ce soir. »

Propos recueillis par Frantz Delagrange


Article Blog de Roger Legeay

William BonnetFrançais - né le 25.06.1982
Professionnel depuis 2005    1,85 m - 78 kg - SPRINTEUR

William Bonnet participe à son deuxième Tour de France. Sa mission est bien définie : elle consiste à emmmener dans les meilleurs conditions Thor Hushovd dans les sprints. Mais si l'occasion se présente, il pourra utiliser sa pointe de vitesse pour son propre compte.
  article posté le 20 juillet 2008 | Qui est Roger Legeay ?
  Ne pas se lancer dans de grandes manoeuvres
Cette quatorzième étape, William Bonnet l'avait cochée sur ses tablettes bien avant le Tour. Il en parlait encore hier matin, dans le bus de l'équipe. Tout le monde l'avait senti dans le groupe, l'idée de prendre la bonne échappée entre Nîmes et Digne-les-Bains le tenaillait depuis le départ de Brest… Et le Picard a allié le geste à la parole, étant même à deux doigts de réussir le coup parfait sous la chaleur étouffante du Gard. Mais voilà, flanqué de Sandy Casar (qui pointait seulement à 13 minutes au général de Cadel Evans), les coéquipiers du maillot jaune ont condamné les fuyards à rentrer dans le rang et les rêves du routier-sprinter se sont envolés. Peu importe, le poisson-pilote de Thor Hushovd (finalement 10e à l'arrivée) a montré les couleurs. Aujourd'hui, le premier volet de la trilogie alpestre devrait laisser des traces sur les organismes. Le col d'Agnes, culminant à plus de 2 700 mètres, risque en effet de causer d'importants dégâts. C'est la raison pour laquelle Roger Legeay joue la carte de la sagesse, conseillant à ses hommes de "ne pas se lancer dans de grandes manoeuvres." Leur objectif sera tout simplement d'accompagner le plus loin possible.

On a fait ce qu'on a dit hier. C'était une étape très rapide, les coureurs ont beaucoup attaqué au début. La moyenne en témoigne avec plus de 52 kilomètres parcourus pendant la première heure. C'était une journée éprouvante, à cause de la chaleur aussi. William a coché cette étape, il y a cru jusqu'à ce que les équipes Liquigas et Milram roulent derrière pour Pozzato et Zabel. A partir de là, le sprint était inévitable. On y croyait, mais Sandy Casar était seulement à 13 minutes au général. C'était un handicap, car Silence Lotto n'a pas voulu laisser se développer l'échappée. Comme cela roulait très vite, si le peloton s'arrêtait, l'écart pouvait monter rapidement. Ce coup est sorti à la pédale, pas comme les derniers jours. Il avait donc de vraies chances d'aller au bout.

"William a pris sa chance, c'est bien"

On en avait parlé avec William hier matin, dans le bus. Il savait qu'une journée comme celle-là, avant les massifs montagneux où les favoris ne se livrent pas à fond, était une bonne opportunité. Il a pris sa chance, c'est bien.Finalement, au sprint, Thor prend la dixième place. Comme les jours précédents, il avait de la force mais n'était pas à 100%. Il est dans l'aspiration, mais c'est tout ce qu'il peut faire. Il est présent, il se contente de voir le sprint de derrière. Il s'est bien replacé au dernier rond-point dans le dernier kilomètre, mais n'a rien pu faire. Il était peut-être un peu handicapé avec l'absence de poisson-pilote. Il va récupérer et soigner ce problème au niveau des bronches pour être opérationnel sur la fin de Tour.

"Il va falloir gérer"

Aujourd'hui, on va assister à une grande étape de montagne. Il va falloir gérer, car la journée d'hier a laissé des traces à cause des chaleurs étouffantes de ces derniers jours. Il est absolument nécessaire de récupérer, c'est important de bien dormir. Dmitriy Fofonov était bien dans le final hier. Avec lui et Alexandre Botcharov, c'est à eux de jouer. Christophe Le Mével devra accompagner les meilleurs le plus longtemps possible. Mais nous n'allons pas nous lancer dans de grandes manoeuvres. Il y a trois jours difficiles à passer, il faut aussi gérer. On monte à 2 700 mètres, ils verront comment ils se sentent dès les premiers kilomètres. Ils vont accompagner au plus haut dans les deux cols, c'est une stratégie différente.

Interview déjantée sur france2.fr

WILLIAM BONNET (CREDIT AGRICOLE)

© AFP - DOMINIQUE FAGET

Publié le 15 juillet à 10:40

Sprinteur de l'équipe Crédit Agricole dans l'ombre de Thor Hushovd sur le Tour, William Bonnet a répondu au questionnaire déjanté.


  • Des superstitions ?
  • Non, aucune.

  • Eddy Merckx ou Bernard Hinault ?
  • Eddy Merckx, il ne critique pas tout le monde.

  • Alpe d'Huez ou Tourmalet ?
  • Je ne connais aucun des deux. Mais Alpe d'Huez, c'est quand même mythique.

  • Avec quel coureur auriez-vous aimé faire équipe ?
  • Mario Cipollini, pourquoi pas.

  • Quel coureur vous impressionne le plus dans le peloton ?
  • Il n'y a personne qui domine comme le faisait Lance Armstrong. Il n'y a pas vraiment de coureur qui m'impressionne plus que ça.

  • Attaquer ou contre-attaquer ?
  • Attaquer, c'est mieux de prendre les devants.

  • Pâtes ou riz ?
  • Pâtes

  • Le bonheur d'après-course, c'est fromage-vin rouge ou gâteaux bien crémeux ?
  • Gâteaux bien crémeux.

  • Echappé en solitaire, il vaut mieux deux derniers kilomètres en ligne droite ou 5km en virage ?
  • C'est peut-être mieux 5km en virage.

  • Pour ou contre l'oreillette ?
  • Pour.

  • Quel est le pire : une descente sous la pluie ou sous la chaleur avec le bitume qui fond ?
  • Sous la pluie, car les trajectoires sont vraiment différentes. Je préfère quand il fait chaud, même si le goudron fond un peu.

  • Quelle phrase, ou qualificatif, avez-vous entendu le plus souvent à votre sujet ?
  • Je n'écoute pas trop ce que l'on dit de moi.

  • Le meilleur moyen de récupérer, c'est un bon massage, une journée de repos ou sa femme ?
  • Le mieux, c'est sa famille, sa femme.

  • La tension, il vaut mieux l'avoir dans la chaîne ou dans la tête ?
  • Dans la chaîne.

  • C'est un bon ou un mauvais signe les traces de pneu ?
  • (rires) C'est plutôt un mauvais signe.

  • Sucer la roue, c'est tromper ?
  • Non, on en a parfois besoin.

Article du 25 janvier paru dans l'Equipe

Cliquez pour agrandir l'image


Site web créé avec Lauyan TOWebDernière mise à jour : mardi 9 mars 2010